
Mercredi 30 Juillet 2025 à 11h00
NOVASCO vers un redressement judiciaire
Avec ses trois autres sites d'usinage et de parachèvement, à Custines, Saint-Étienne et Leffrinckoucke, Novasco emploie environ 760 personnes
Le groupe Novasco, nouveau nom du sidérurgiste Ascometal depuis sa reprise en juillet 2024 par le fonds d’investissement Greybull Capital, devrait être placé en redressement judiciaire lors d’une audience prévue le 11 août 2025 au tribunal de Strasbourg. Cette décision marquerait une nouvelle étape dans le parcours difficile du sidérurgiste français.
Une procédure de redressement envisagée
Selon Gazi Yildiz, délégué syndical central CGT du site d’Hagondange (Moselle), le mandataire judiciaire a confirmé la date du 11 août pour la mise en redressement judiciaire de l’entreprise. Cette procédure permettrait l’ouverture d’une période d’observation destinée à identifier des solutions de reprise ou de restructuration.
Des repreneurs potentiels à l’étude
Au cours de la semaine, six candidats à la reprise ont été auditionnés, indique Yann Amadoro, secrétaire du comité social et économique (CSE).
Selon les premiers éléments, plusieurs repreneurs manifestent un intérêt pour certains sites du groupe, sans proposition concrète à ce stade pour Hagondange, qui compte 450 salariés.
Avec ses trois autres sites d’usinage et de parachèvement – Custines (Meurthe-et-Moselle), Saint-Étienne (quartier du Marais) et Leffrinckoucke (Nord) –, Novasco emploie environ 760 personnes.
Une situation financière sous tension
Lors de la reprise en 2024, Greybull Capital s’était engagé à injecter 90 millions d’euros, avec le soutien de l’État, qui devait apporter 85 millions d’euros.
À ce jour, l’État a versé 75 millions d’euros, tandis que le fonds britannique n’aurait investi qu’1,5 million d’euros, selon les représentants syndicaux.
« L’État a tenu ses engagements, mais il n’a pas été suffisamment attentif au déroulement du plan », déplore Yann Amadoro, appelant à davantage de contrôle sur l’usage des fonds publics engagés dans ce projet industriel.
Les salariés mobilisés pour sauvegarder leur avenir
Face à l’incertitude, les salariés du site d’Hagondange poursuivent le blocage des flux de transport, afin de préserver le contrôle des stocks et maintenir une pression sur les négociations.
« Vu le calendrier, c’est le seul levier dont nous disposons pour faire entendre nos revendications », souligne Yann Amadoro.
Source : Fusacq
Une procédure de redressement envisagée
Selon Gazi Yildiz, délégué syndical central CGT du site d’Hagondange (Moselle), le mandataire judiciaire a confirmé la date du 11 août pour la mise en redressement judiciaire de l’entreprise. Cette procédure permettrait l’ouverture d’une période d’observation destinée à identifier des solutions de reprise ou de restructuration.
Des repreneurs potentiels à l’étude
Au cours de la semaine, six candidats à la reprise ont été auditionnés, indique Yann Amadoro, secrétaire du comité social et économique (CSE).
Selon les premiers éléments, plusieurs repreneurs manifestent un intérêt pour certains sites du groupe, sans proposition concrète à ce stade pour Hagondange, qui compte 450 salariés.
Avec ses trois autres sites d’usinage et de parachèvement – Custines (Meurthe-et-Moselle), Saint-Étienne (quartier du Marais) et Leffrinckoucke (Nord) –, Novasco emploie environ 760 personnes.
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Source : Fusacq
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