Fonds_acquisition
Mercredi 01 Juillet 2020 à 10h20
ALTER EQUITY lève 110 M€ pour son deuxième fonds
Alter equity a clôturé son deuxième fonds d’impact, souscrit à hauteur de 110 millions d’euros pour un objectif initial de 70 millions d’euros, auprès d’investisseurs privés (30%) et institutionnels (70%). alter equity3PII a atteint ce niveau en limitant la demande de souscription de certains investisseurs. Ce résultat le place aux premiers rangs des fonds d’impact français.
Le modèle d’investissement d’alter equity repose sur quelques critères clefs : investissements minoritaires ou majoritaires, de 1 à 15 millions d’euros, dans des entreprises réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 800 000 euros. En co-investissement avec d’autres acteurs, le fonds pourra structurer des opérations jusqu’à 30 millions d’euros. Il s’intéresse prioritairement aux PME françaises. Quelques opérations pourraient être conduites en Europe.
alter equity a surtout porté des innovations structurantes dans le secteur de l’investissement à impact, gérant le premier fonds s’étant intéressé à deux niveaux d’impact des entreprises sur la société :
- leur activité, qui doit produire un impact positif sur l’environnement ou les personnes, apportant des solutions aux grands enjeux environnementaux et sociaux contemporains. Les secteurs d’activité visés recoupent les Objectifs du Développement Durable (ODD) de l’ONU,
- leurs pratiques de gestion : les participations du fonds doivent s’engager dans une dynamique de progrès vers des comportements toujours plus respectueux de leurs salariés, de la nature et de la société, en adoptant un Business Plan Extra Financier (« BPEF ») comprenant 10 à 15 indicateurs.
Avec ce deuxième fonds, alter equity a continué d’innover en faisant évoluer deux sur trois des indicateurs obligatoires pour ce BPEF :
- procéder à un bilan carbone,
- ouvrir le capital à l’ensemble des salariés (ou leur permettre de participer à la plus-value des investisseurs).
Le troisième indicateur obligatoire l’était déjà pour les participations du premier fonds : conditionner la partie variable de la rémunération des dirigeants au respect du Business Plan Extra-Financier.
alter equity est le premier investisseur français dans le non-côté imposant chacun de ces trois comportements et s’engageant en outre à donner 1% de son chiffre d’affaires à des causes sociales ou environnementales.
alter equity, au travers de ce deuxième fonds, a pour objectif d’apporter des fonds propres à une quinzaine de PME. Quatre investissements ont déjà été réalisés dans des entreprises en hyper-croissance, dont le chiffre d’affaires s’est inscrit entre 1 et 25 M€ en 2019 :
- ilek, leader français de la distribution d’électricité et de gaz 100% renouvelables,
- les Ripeurs, spécialistes de la collecte des déchets de chantiers urbains de rénovation et d’autres déchets,
- Gojob, pionnier français de l’intérim digital,
- Kipli, leader français de la vente digitale de matelas en latex bio.
Pour 2020, elles anticipent une croissance particulièrement élevée, de plus de 100% en moyenne pondérée de l’investissement. Le confinement n’impacte les prévisions de chiffre d’affaires 2020 que de l’ordre d’un tiers de la croissance attendue en moyenne.
Le premier fonds géré par alter equity avait déjà permis à 12 start-ups de se développer dans des secteurs d’intérêt général : éducation, santé, handicap, énergie renouvelable, efficacité énergétique, recyclage, alimentation durable…
Depuis l’investissement d’alter equity3P, ces entreprises ont permis d’éviter l’émission de plus de 1,6 million de tonnes de CO2. Quatre d’entre elles sont dirigées par des femmes, soit un ratio d’1/3, ce qui constitue également un record au sein du Private Equity français.
alter equity est né de la volonté de conduire une philosophie d’investissement contribuant à l’intérêt général et propose un nouveau modèle économique basé sur le triptyque People - Planet – Profit, ancré dans le capitalisme et recherchant un rendement financier rémunérant le risque pris par ses souscripteurs, mais exigeant que ses investissements s’inscrivent dans une responsabilité sociale et environnementale rigoureuse, à la mesure des défis contemporains.
alter equity a été le premier « Fonds d’impact » créé sur ce modèle, intervenant au capital de sociétés non cotées en bourse et a ouvert une voie vers laquelle se dirigent actuellement toujours plus de flux financiers.
« Il nous semble indispensable de construire et développer un capitalisme renouvelé, plus équitable et plus écologique, soutenant des PME d’intérêt général. La crise que nous traversons ne fait que renforcer la pertinence du modèle d’alter equity, investisseur pionnier de ce point de vue. En mobilisant des souscripteurs conscients que responsabilité et rentabilité sont désormais indissociables et en soutenant des PME respectueuses des humains et de l’environnement, alter equity apporte une des réponses à la question : quel modèle économique pour construire le monde de demain » indique Fanny Picard, Fondatrice et Présidente d’alter equity.
Source : Communiqué de presse
Le modèle d’investissement d’alter equity repose sur quelques critères clefs : investissements minoritaires ou majoritaires, de 1 à 15 millions d’euros, dans des entreprises réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 800 000 euros. En co-investissement avec d’autres acteurs, le fonds pourra structurer des opérations jusqu’à 30 millions d’euros. Il s’intéresse prioritairement aux PME françaises. Quelques opérations pourraient être conduites en Europe.
alter equity a surtout porté des innovations structurantes dans le secteur de l’investissement à impact, gérant le premier fonds s’étant intéressé à deux niveaux d’impact des entreprises sur la société :
- leur activité, qui doit produire un impact positif sur l’environnement ou les personnes, apportant des solutions aux grands enjeux environnementaux et sociaux contemporains. Les secteurs d’activité visés recoupent les Objectifs du Développement Durable (ODD) de l’ONU,
- leurs pratiques de gestion : les participations du fonds doivent s’engager dans une dynamique de progrès vers des comportements toujours plus respectueux de leurs salariés, de la nature et de la société, en adoptant un Business Plan Extra Financier (« BPEF ») comprenant 10 à 15 indicateurs.
Avec ce deuxième fonds, alter equity a continué d’innover en faisant évoluer deux sur trois des indicateurs obligatoires pour ce BPEF :
- procéder à un bilan carbone,
- ouvrir le capital à l’ensemble des salariés (ou leur permettre de participer à la plus-value des investisseurs).
Le troisième indicateur obligatoire l’était déjà pour les participations du premier fonds : conditionner la partie variable de la rémunération des dirigeants au respect du Business Plan Extra-Financier.
alter equity est le premier investisseur français dans le non-côté imposant chacun de ces trois comportements et s’engageant en outre à donner 1% de son chiffre d’affaires à des causes sociales ou environnementales.
alter equity, au travers de ce deuxième fonds, a pour objectif d’apporter des fonds propres à une quinzaine de PME. Quatre investissements ont déjà été réalisés dans des entreprises en hyper-croissance, dont le chiffre d’affaires s’est inscrit entre 1 et 25 M€ en 2019 :
- ilek, leader français de la distribution d’électricité et de gaz 100% renouvelables,
- les Ripeurs, spécialistes de la collecte des déchets de chantiers urbains de rénovation et d’autres déchets,
- Gojob, pionnier français de l’intérim digital,
- Kipli, leader français de la vente digitale de matelas en latex bio.
Pour 2020, elles anticipent une croissance particulièrement élevée, de plus de 100% en moyenne pondérée de l’investissement. Le confinement n’impacte les prévisions de chiffre d’affaires 2020 que de l’ordre d’un tiers de la croissance attendue en moyenne.
Le premier fonds géré par alter equity avait déjà permis à 12 start-ups de se développer dans des secteurs d’intérêt général : éducation, santé, handicap, énergie renouvelable, efficacité énergétique, recyclage, alimentation durable…
Depuis l’investissement d’alter equity3P, ces entreprises ont permis d’éviter l’émission de plus de 1,6 million de tonnes de CO2. Quatre d’entre elles sont dirigées par des femmes, soit un ratio d’1/3, ce qui constitue également un record au sein du Private Equity français.
alter equity est né de la volonté de conduire une philosophie d’investissement contribuant à l’intérêt général et propose un nouveau modèle économique basé sur le triptyque People - Planet – Profit, ancré dans le capitalisme et recherchant un rendement financier rémunérant le risque pris par ses souscripteurs, mais exigeant que ses investissements s’inscrivent dans une responsabilité sociale et environnementale rigoureuse, à la mesure des défis contemporains.
alter equity a été le premier « Fonds d’impact » créé sur ce modèle, intervenant au capital de sociétés non cotées en bourse et a ouvert une voie vers laquelle se dirigent actuellement toujours plus de flux financiers.
« Il nous semble indispensable de construire et développer un capitalisme renouvelé, plus équitable et plus écologique, soutenant des PME d’intérêt général. La crise que nous traversons ne fait que renforcer la pertinence du modèle d’alter equity, investisseur pionnier de ce point de vue. En mobilisant des souscripteurs conscients que responsabilité et rentabilité sont désormais indissociables et en soutenant des PME respectueuses des humains et de l’environnement, alter equity apporte une des réponses à la question : quel modèle économique pour construire le monde de demain » indique Fanny Picard, Fondatrice et Présidente d’alter equity.
Source : Communiqué de presse
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