
Lundi 07 Janvier 2013 à 15h34
La savonnerie du FER A CHEVAL cherche un repreneur ou un partenaire
Après avoir été rachetée par ses cadres en 2003, la savonnerie du Fer à Cheval (Compagnie des détergents et du savon de Marseille) connait de grosses difficultés de trésorerie.
La société est en redressement judiciaire et en période d'observation depuis le 31 octobre 2012. Sa plus grosse usine de production a vu son atelier de sulfonation (unité de production d’acide sulfonique-13 000 tonnes par an) s’arrêter il y a trois mois en raison de la cessation du contrat de 10 ans de la part d’une société coréenne qui n’a pas souhaité poursuivre cette activité. 10 employés sur 31 ont déjà été licenciés.
Un article du site internet La Marseillaise du 17 décembre 2012 cite le PDG : « Nous avons une activité détergents en plein développement depuis 2 ans avec la multiplication du chiffre d’affaires par 10, précise-t-il, l’inconvénient c’est que cela nécessite des fonds propres, des capitaux dont on ne disposait pas, on a commencé à s’endetter auprès des banques et à utiliser toutes les réserves pour éviter d’en arriver à des extrêmes, c’est-à-dire à licencier. Mais l’arrêt de l’activité de sulfonation, c’est la goutte qui a fait déborder le vase. Elle représente 30 % de notre activité et j’ai dû entamer une procédure collective de licenciements. »
En plus de ces difficultés financières, la savonnerie fait face à la concurrence étrangère car l’appellation "savon de Marseille" n'est pas contrôlée.
Son PDG Bernard Demeure, a moins de 4 mois pour trouver un repreneur ou un partenaire à cette entreprise qui existe depuis 1856.
La société est en redressement judiciaire et en période d'observation depuis le 31 octobre 2012. Sa plus grosse usine de production a vu son atelier de sulfonation (unité de production d’acide sulfonique-13 000 tonnes par an) s’arrêter il y a trois mois en raison de la cessation du contrat de 10 ans de la part d’une société coréenne qui n’a pas souhaité poursuivre cette activité. 10 employés sur 31 ont déjà été licenciés.
Un article du site internet La Marseillaise du 17 décembre 2012 cite le PDG : « Nous avons une activité détergents en plein développement depuis 2 ans avec la multiplication du chiffre d’affaires par 10, précise-t-il, l’inconvénient c’est que cela nécessite des fonds propres, des capitaux dont on ne disposait pas, on a commencé à s’endetter auprès des banques et à utiliser toutes les réserves pour éviter d’en arriver à des extrêmes, c’est-à-dire à licencier. Mais l’arrêt de l’activité de sulfonation, c’est la goutte qui a fait déborder le vase. Elle représente 30 % de notre activité et j’ai dû entamer une procédure collective de licenciements. »
En plus de ces difficultés financières, la savonnerie fait face à la concurrence étrangère car l’appellation "savon de Marseille" n'est pas contrôlée.
Son PDG Bernard Demeure, a moins de 4 mois pour trouver un repreneur ou un partenaire à cette entreprise qui existe depuis 1856.
| Trouver des sociétés à reprendre dans le secteur "Fab. d'articles de luxe et de cosmétique" |
|---|
| Fabrication de savons et détergents
CA : 550 k€
Réf. : V41644
Posté le 03/07/2018Seine Maritime |
| Les sociétés à reprendre du secteur "Fab. d'articles de luxe et de cosmétique" / en PACA |
| Ils veulent faire des acquisitions dans le secteur "Fab. d'articles de luxe et de cosmétique" |
|---|
| Société ou Marque de parfumerie alcoolique
CA Max : 15 000 k€
Réf. : A16441
Paris, Ile-de-France, France |
| Production et distribution de parfums, cosmétiques, savons et huiles essentielles
CA Max : 50 000 k€
Réf. : A15319
Ile-de-France, France |
| Les acheteurs du secteur "Fab. d'articles de luxe et de cosmétique" |