Témoignages

Après 15 années passées à la direction générale d'entreprise et à la création de filiales à l'étranger, Alain FOSSOUX décide de se mettre à son compte et reprend la société Schuller Graphic, 19 salariés.

Alain FOSSOUX : J'avais la volonté de bénéficier personnellement de la plus value de mon travail. Concrétiser pour moi-même ce que j'avais réussi pour le compte de mes employeurs précédents.

Mon parcours se compose de plusieurs expériences réussies en France et à l'étranger de direction générale d'entreprise et de création de filiales à l'étranger.

Je recherchais une société industrielle ou commerciale, in boni et réalisant un chiffre d'affaires de 2 à 10 millions d'Euros (ou plus avec un fonds d'investissement).
La société devait être localisée dans un grand quart Nord Ouest de la France.

Début des recherches en juillet 2010 avec formation à la reprise chez Fusacq, signature du protocole en juin 2011 et acquisition définitive en octobre 2011.
Soit près de 15 mois après les premières démarches.

Par l'intermédiaire de FUSACQ, en y diffusant ma recherche d'acquisition et en consultant les annonces de cession.

La société est une agence de communication et de conseils en marketing située en Basse-Normandie.

Proche de mon domicile, relative proximité avec mes compétences passées et prix d'acquisition raisonnable.

Oui, par un avocat qui a étudié plusieurs dossiers avec moi et un cabinet d'audit qui est intervenu ponctuellement sur ce dossier.

Je l'aurai souhaité mais je n'ai pas pu car le cédant ne voulait pas dévoiler la cession avant la signature définitive.

A la deuxième rencontre, avec l'intermédiaire.

Le financement s'est fait de la manière suivante : 11% par apport en capital, 11% par apport en compte courant d'associé, 28% en remontée de dividendes et le solde par prêt bancaire.

Le sourcing, c'est à dire trouver une entreprise à un prix accessible et permettant son financement.

Au cédant : comprendre que le prix dépend nécessairement de la capacité de l'entreprise à générer les résultats suffisants pour le remboursement.

Au repreneur : s'il n'est pas directement du métier, s'assurer qu'il existe dans l'entreprise les ressources humaines nécessaires pour faire fonctionner l'entreprise sans le cédant. Le repreneur doit en priorité cerner l'impact du départ du cédant dans la poursuite du business.