• La foodtech spécialisée dans la livraison de courses du quotidien et produits artisanaux en 1 heure annonce un tour de table auprès de business angels, de l’accélérateur Shake-Up Factory ainsi que le fonds Kima Ventures.

• Au cœur de sa réussite, une offre combinant le meilleur de la foodtech (le diptyque artisanal / produits de grande distribution ; prix accessibles et livraison rapide) associée à la 1re solution logicielle entièrement dédiée aux courses à domicile en zones urbaines.

• La belle vie entend accélérer sa forte croissance et développer son leadership en France comme en Europe.

La belle vie, la foodtech spécialisée dans la livraison de courses (produits frais et épicerie) en 1h annonce un 1er tour de financement de 5,5 M d’€ auprès
de business angels aguerris : Julien Mangeard, CTO Vente Privée – Thibaut Faurès Fustel de Coulanges, CEO Dalenys - Louis Duclert, CEO de LO capital ainsi que du fonds Kima Ventures et de l’accélérateur Shake-Up Factory (Station F).

Créée en 2016 par Alban Wienkoop et Paul Lê, la start-up connaît une croissance exponentielle et a surtout réussi le tour de force d’être déjà rentable.
Sa promesse : la livraison en 1h de 4500 produits frais, bio, artisanaux mais aussi de l’épicerie et des produits du quotidien. Son secret, avoir réinventé toute la chaîne logistique.

De l’approvisionnement à la livraison, La belle vie est parvenue à la création d’un système 0 gâchis et à une optimisation logistique hors norme dans le secteur.

Pour ce faire elle a développé in-house une solution logicielle comprenant ERP, Warehouse et Delivery Management, qui lui assure un taux de service et de satisfaction sans équivalent.

Son taux d’acquisition basé sur le bouche à oreille (aucun investissement marketing ou communication) ainsi que sa forte rétention clients soulignent une solide fidélité de leur communauté, lui permettant d’atteindre un chiffre d’affaire de 3 M d’€ en 2017 (en 18 mois).


“ Commander en quelques clics un plateau de fromages à tomber, une côte de bœuf d’un excellent boucher, des crudités prédécoupées, un guacamole maison ou encore du Sopalin et tout recevoir dans l'heure, telle est notre pari tenu. Pour y parvenir, nous avons très vite compris qu’il nous fallait avoir nos propres stocks et repenser tout le circuit logistique, de la prise de commande à la livraison” se réjouit Paul Lê, Cofondateur et Président de La belle
vie.

“ Venant de la tech tous les deux, développer notre propre système informatique était une composante essentielle pour augmenter nos chances de réussite. Aujourd’hui le défi est relevé puisque nous avons besoin de beaucoup moins de main d’oeuvre que nos concurrents mais également une agilité qui nous permet d’améliorer continuellement notre qualité de service, et, en même temps, notre marge ” complète Alban Wienkoop.

Les 5,5 millions d’euros lui permettront de muscler son management, de se développer dans l’hexagone (Lyon très prochainement), et d’ouvrir un deuxième entrepôt dans Paris avant d’adresser l’Europe (Londres).

” Paul et Alban m’impressionnent beaucoup et suis très heureux de participer à cette aventure. Ils ont un instinct business exceptionnel et ne sont absolument pas formatés. Ils savent voir grand sans griller les étapes. Ils sont sans cesse focalisés sur l’amélioration des process et l’expérience clients. A n’en pas douter, Ils sont capables de challenger un Amazon Prime Now dans l’hexagone ” commente Louis Duclert, LO Capital.

A propos de La belle vie :

Créée en 2016, La belle vie est spécialisée dans la livraison de courses en 1h à Paris (1h30 petite couronne) et 3h Ile de France.

La belle vie doit son succès à son offre comprenant 4500 produits frais, bio, artisanaux mais aussi de l’épicerie et des produits du quotidien. Sa capacité à livrer les courses dans les délais exceptionnels a rapidement convaincu une clientèle parisienne et créé un bouche à oreille favorable alors même qu’aucun investissement marketing et communication n’a jamais été réalisé.

La belle vie est accessible depuis un site web et une application mobile.

Source : Communiqué de presse