Mercredi 10 Octobre 2012 à 09h28
EON vend 50% de trois parcs éoliens aux Etats-Unis au fonds PENSIONDANEMARK
Le fonds danois souhaite investir 2 mds$ dans des infrastructures sur cinq ans
Le numéro un de l'énergie en Allemagne EON a annoncé lundi avoir vendu 50% de ses parts dans trois parcs éoliens situés aux Etats-Unis au fonds de pensions danois PensionDanemark.
Dans le cadre de cet accord, PensionDanemark a acquis 50% des parts de deux parcs éoliens au Texas, l'un comprenant 109 turbines d'une capacité totale de 180 mégawatts, l'autre comprenant 87 turbines d'une capacité totale de 200 mégawatts.
Le fonds danois a également acquis la moitié des parts d'un troisième parc en Pennsylvanie, équipé de 35 turbines pour une capacité totale de 53 mégawatts, a précisé le groupe allemand dans un communiqué.
EON n'a pas révélé le montant de ce contrat, qui était cependant estimé à plus d'une centaine de millions d'euros par des sources industrielles.
"Cette transaction est un pas important pour la mise en oeuvre de notre stratégie visant à générer plus de valeur en utilisant moins de capital", a déclaré Marcus Schenk, membre du directoire d'EON, cité dans le communiqué.
Le groupe a annoncé qu'il gardait une part importante dans ces installations et qu'il assurerait la gestion opérationnelle journalière de ces parcs, qui alimentent 120.000 foyers américains en électricité.
L'énergie produite sera vendue à des opérateurs électriques américains selon un accord de prix établi pour 15 ans.
"C'est le premier contrat de cette nature entre nos deux sociétés", a affirmé à l'AFP un porte-parole d'EON.
"Nous exploitons déjà 4.300 mégawatts aux Etats-Unis, nous prévoyons d'en construire 200 autres", a également déclaré ce porte-parole, précisant qu'EON ne pouvait pas construire à lui seul ces nouvelles installations sans des apports extérieurs en capitaux.
De son côté, le fonds danois PensionDanemark cherche à augmenter son niveau d'investissement dans des "alternatives stables" telles que des infrastructures, à hauteur de 10% de ses actifs, pour faire face au faible rendement des obligations et à la mauvaise conjoncture économique, a ajouté le communiqué.
Le fonds entend investir 2 milliards de dollars américains (1,53 milliard d'euros) dans des infrastructures au cours des cinq prochaines années.
Dans le cadre de cet accord, PensionDanemark a acquis 50% des parts de deux parcs éoliens au Texas, l'un comprenant 109 turbines d'une capacité totale de 180 mégawatts, l'autre comprenant 87 turbines d'une capacité totale de 200 mégawatts.
Le fonds danois a également acquis la moitié des parts d'un troisième parc en Pennsylvanie, équipé de 35 turbines pour une capacité totale de 53 mégawatts, a précisé le groupe allemand dans un communiqué.
EON n'a pas révélé le montant de ce contrat, qui était cependant estimé à plus d'une centaine de millions d'euros par des sources industrielles.
"Cette transaction est un pas important pour la mise en oeuvre de notre stratégie visant à générer plus de valeur en utilisant moins de capital", a déclaré Marcus Schenk, membre du directoire d'EON, cité dans le communiqué.
Le groupe a annoncé qu'il gardait une part importante dans ces installations et qu'il assurerait la gestion opérationnelle journalière de ces parcs, qui alimentent 120.000 foyers américains en électricité.
L'énergie produite sera vendue à des opérateurs électriques américains selon un accord de prix établi pour 15 ans.
"C'est le premier contrat de cette nature entre nos deux sociétés", a affirmé à l'AFP un porte-parole d'EON.
"Nous exploitons déjà 4.300 mégawatts aux Etats-Unis, nous prévoyons d'en construire 200 autres", a également déclaré ce porte-parole, précisant qu'EON ne pouvait pas construire à lui seul ces nouvelles installations sans des apports extérieurs en capitaux.
De son côté, le fonds danois PensionDanemark cherche à augmenter son niveau d'investissement dans des "alternatives stables" telles que des infrastructures, à hauteur de 10% de ses actifs, pour faire face au faible rendement des obligations et à la mauvaise conjoncture économique, a ajouté le communiqué.
Le fonds entend investir 2 milliards de dollars américains (1,53 milliard d'euros) dans des infrastructures au cours des cinq prochaines années.
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