ARKEON Gestion annonce aujourd’hui l’entrée des FIP ARKEON pré-cotation Régions 2011 et ARKEON pré-cotation Régions 2012-A ainsi que du FCPI ARKEON pré-cotation Innovation 2012-A au capital de la société SOCREP, qui produit des films plastiques techniques pour l’industrie de la glisse et pour l’industrie pharmaceutique.

Créée en 1979, SOCREP a été rachetée en 2002 par son actuel dirigeant, en LBO. Cette société lyonnaise réalise l’essentiel de son chiffre d’affaires dans l’industrie de la glisse, en produisant des films techniques protégeant notamment le dessus des skis.

C’est une niche de marché avec une forte barrière technique à l’entrée, dont SOCREP détient aujourd’hui environ 50% au niveau mondial. En parallèle pendant les trois dernières années la société a développé de nouveaux produits techniques, qui ont aujourd’hui trouvé un premier débouché prometteur avec des clients dans l’industrie pharmaceutique. Ce seul marché peut permettre la société à doubler son chiffre d’affaires à moyen terme.

L’augmentation de capital souscrite par les fonds d’ARKEON Gestion accompagnés par les souscripteurs particuliers conseillés par ARKEON Finance, va permettre à la société d’investir dans les outils industriels nécessaires à ces nouveaux développements.

« SOCREP a su développer un savoir faire devenu rare dans les films plastiques techniques, devant satisfaire aux attentes draconiennes de ses clients pour des conditions d’utilisation extrêmes. Peu de sociétés dans le monde étaient donc capables de réaliser des valves intégrées aux vaporisateurs médicaux, leur permettant de respecter une posologie précise et continue lors des inhalations » indique Arnaud Filhol, responsable de l’activité capital investissement d’ARKEON Gestion.

Pierre Koehl, dirigeant de SOCREP ajoute «cette diversification dans le secteur médical est l’aboutissement de sa politique d’innovation pour laquelle l’entreprise consacre environ 10% de son chiffre d’affaires chaque année. Cette stratégie devrait permettre à Socrep de doubler ses revenus, de réduire la part du marché de la glisse à moins de 50 %, et de poursuivre son développement dans d’autres secteurs d’activités comme l’aéronautique et le packaging bio- dégradable. »