Témoignages

Jacques BELLIER : Avant d’entreprendre, j’ai été salarié dans le privé pendant 20 ans. A mes débuts en tant qu’aide-comptable puis comme Directeur Administratif et Financier (DAF) en fin de carrière. J’ai ensuite repris une société exploitant une grande surface de bricolage de 1200 m² que j’ai conservée pendant douze ans. Mais découragé par les taxes multiples auxquelles sont assujettis les commerçants et à cause d’une législation toujours plus contraignante, j’ai fini par vendre ma société.

Après cette expérience entrepreneuriale en demi-teinte, je ne voulais plus être « patron », mais retrouver un poste de salarié en entreprise. Seulement, le marché de l’emploi étant ce qu’il est pour les personnes de plus de 40 ans, j’ai vite compris que je faisais fausse route et qu’il me faudrait retrouver une entreprise à acheter rapidement. Avant de débuter mes recherches, j’ai fait le constat que je savais surtout ce que je ne voulais plus à savoir reprendre une société spécialisée dans le commerce en «  B to C ». C’est donc tout naturellement que je me suis tourné vers les prestations de services. De plus, je voulais une petite structure performante sur son marché afin de la développer.

Quatre mois ont suffi pour que je reprenne cette entreprise.

J’ai trouvé l’annonce de cession de cette entreprise sur le site de Fusacq.

Il s’agit d’une jeune entreprise issue du secteur de la formation professionnelle continue pour adultes.

Cette entreprise, très bien organisée et structurée, compte parmi ses clients de grandes entreprises nationales et dispose d’un bon potentiel de développement. De plus, le risque financier est faible.

J’ai rapidement rencontré le cédant avec lequel le courant est tout de suite passé.

Oui, ce que je fis.

Dès ma première rencontre avec le cédant.

Ce fut très simple car il n’y a pas eu de financement externe.

Le juridique comme d’habitude et les complications administratives.

Je recommanderais aux repreneurs d’être aux aguets de la moindre opportunité, en consultant Fusacq régulièrement par exemple. Aux cédants, je leur suggèrerais de proposer des prix de cession réalistes.